Bilan positif pour les fêtes 2014
 Récemment, la peña Vivement Cinq Heures avait invité ses bénévoles à une soirée consacrée au débriefing de la journée taurine du 14 juillet. Cette dernière devait se dérouler place des Arènes, mais le repli dans la bodega des Esbouhats a été judicieux, permettant de rester bien à l'abri des cordes qui tombaient dehors…
Pour revenir à la journée, les deux coprésidents ne peuvent que se réjouir, dans la mesure où le beau temps et le public étaient présents en masse, conséquence d'une bonne médiatisation et d'un possible effet boomerang, dû a l'annonce par les anti d'une action citoyenne à Plaisance. Cette annonce a en tout cas semblé motiver les gens à venir plus nombreux. L'ambiance a été exceptionnelle du matin au soir, les petits déjeuners ont même atteint la rupture de stock.
La tienta matinale agrémentée d'une partie équestre a rempli tous les gradins, le bar, chaleur oblige, a très bien fonctionné, et le repas de midi animé par les mini-sévillannes et brésiliennes a battu son record de participation, avec un menu enfant qui a permis de garder beaucoup de familles.
La novillada, coté novillos, n'a pas tenu ses promesses, mais le Péruvien Galdos Moréno, mieux servi que les autres, a su tirer parti de ses deux adversaires et sortir sur les épaules du Fundi. Les repas du soir, préparés bénévolement ont été victimes d'un grand succès et ont eux aussi connu la rupture du stock !
Les deux animations culturelles annexes, l'exposition de photos et de peintures taurines à la mairie a eu de nombreux visiteurs. Le concert orgue et trompettes a quant à lui explosé le nombre d'entrées à l'église.
Ces bonnes notes ne doivent pas faire oublier l'absence médicale de Michel Lagisquet, membre fondateur hospitalisé, le forfait de dernière minute du fournisseur habituel du chapiteau (remplacé par un autre), et les dégâts de l'inondation de fin janvier qui ont obligé l'achat d'une nouvelle sonorisation. Mais la réussite de ce cru 2014 laisse espérer un retour a l'équilibre. Confirmation attendue par tous l'an prochain !
Marcel Lavedan
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